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 Ekaterina Dementieva [validée]

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Ekaterina Dementieva

Ekaterina Dementieva


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MessageSujet: Ekaterina Dementieva [validée]   Ekaterina Dementieva [validée] Icon_minitimeVen 9 Jan - 18:04

Nom : Dementieva

Prénom : Ekaterina

Surnom : Katya

Age : 19 ans

Pouvoir : Aucun

Camp : Aucun puisqu’elle ignore tout de ce genre de chose.

Ville de résidence : Tokyô

Voiture : Honda S2000
Ekaterina Dementieva [validée] Hondas2000jh8


Physique : Katya n’est pas très grande et sa corpulence est idéale au vu de son poids plume. Sa silhouette est menue, gracieuse mais ça ne l’empêche pas d’arborer des formes harmonieuses et merveilleusement proportionnées.
Elle n’est pas ce que l’on peut appeler sulfureuse mais il émane d’elle une féminité indéniable et un pouvoir de séduction évident.
Ses mouvements détiennent pour leur part une sensualité étouffante teintée d’assurance, ce qui lui octroie une classe et une volupté innée. Ils sont souvent lents, précis et légers, ce qui leur donnent un petit côté lascif.
Toujours maquillée et parfumée, elle met un point d’honneur à paraître à son avantage en toute circonstance. Elle aime simplement se savoir le plus jolie possible et le milieu dans lequel elle évolue exige un minimum de superficialités.
Son visage est doux et détient des traits délicats reflétant une certaine fragilité que renforce encore la blancheur nacré de sa peau.
Métis, elle détient un teint naturellement mais légèrement halée. De sa mère japonaise, elle hérita de jolis yeux en amandes qui affichent des prunelles vertes et pailleté d’or.
Excessivement profonds, l’on croit souvent pouvoir si perdre tant ils sont lumineux néanmoins la demoiselle à su les rendre impassible et sauf en de rares exceptions lire en eux ne s’avère pas d’une facilité enfantine. Ourlés de longs cils recourbés, ils sont certainement son atout physique majeur.
Ses longs cheveux fins et soyeux, d’un noir de jais toutefois parsemée de reflets allant du brun à un roux foncé ondulent rêveusement sur ses épaules et s’arrêtent à mi-dos…
Son nez est petit et très mignon, ses sourcils sont fins, et ses lèvres sont remarquablement bien dessinées. Pleine sans être charnue, il n’est pas courant de les voir s’étirer en un sourire réellement joyeux mais lorsqu’elle le fait c’est tout son charmant minois qui s’éclaire lui conférant une beauté auquel peu d’hommes savent rester insensibles.
Elle est d’ailleurs considérée comme l’une des plus belles filles du coin en raison du choix d’Akira d’en faire sa conquête officielle.
Et son apparence un brin mystérieuse, un brin insaisissable contribue largement à cette décision d’ailleurs.
Niveau vestimentaire, la donzelle à des goûts variés et pas de couleur fétiches, néanmoins elle porte plus facilement les jupes ou les robes que les pantalons.
Ah et un dernier détail, un tatouage étrange, comme une plante grimpante, court entre ses omoplates.


Caractère : La demoiselle a un caractère assez paradoxal. Son vécu a contribué à faire d’elle une personne forte et courageuse et a forgé la détermination conséquente qui est la sienne.
De premier abord, elle semble solide, intouchable presque distante mais ce n’est qu’une façade destinée à dissimuler ses faiblesses.
Cette fragilité refoulée ressort néanmoins de temps en temps, notamment lorsque les choses la déstabilise, ce qui ce fait rare à présent.
Elle a vu trop de chose, assisté à trop de cruauté pour pouvoir se permettre encore d’afficher sa sensibilité à la moindre occasion.

Il faut dire qu’elle a appris à relativiser et que son expérience aux côtés d’Akira lui a permis de beaucoup s’endurcir. Aussi s’évertue t’elle à masquer sa vulnérabilité, à se cacher purement et simplement. Aux autre mais à elle-même aussi…
La métisse a du apprendre à faire preuve d’impassibilité, à ne pas montrer trop ouvertement les émotions qui l’habitent au risque d’en pâtir par la suite.
Cependant, elle ne peut enfouir définitivement ce côté empathique et protecteur qui sont les siens, ni sa douceur innée.

En réalité, c’est une femme attentionnée et généreuse qui aime venir en aide à ses proches cependant elle ne peut plus se le permettre depuis longtemps.
D’ailleurs sa fragilité ne la pousse que très rarement aux larmes.
Elle n’est pas non plus du genre à se plaindre, elle serait plutôt du style à tout encaisser en silence.
Disons que la jeune fille n’est pas née résistante mais a appris à le devenir, consciente de la nécessité de toujours se relever. Elle sait qu’il ne faut jamais abandonner.

Débrouillarde, elle n’a besoin de personne ce qui ne l’empêche pas de rechercher la présence d’autrui, détestant la solitude à trop haute dose, trop conscience de la douleur qu’elle provoque…
Vive d’esprit, elle n’est pas le genre de personne à se bercer d’illusions, n’hésitant pas à se jeter dans la vérité, quitte à en sortir meurtris.
Néanmoins, elle a su conserver une part de rêverie, ce qui lui a permis de ne pas perdre espoir et d’atténuer son côté terre à terre.

Ekaterina est également très exigeante envers elle-même, ne se permettant pas la moindre incartade. Elle est aussi très professionnelle, faisant passer sa mission et l’objectif avant tout le reste.
Volontaire et coriace, elle n’est pas ce que l’on pourrait qualifier de farouche et même si la peur de ne pas s’en sortir entière la tenaille, elle refuse de laisser celle-ci lui dicter son comportement. En cela, sa détermination est exemplaire.

Autodidacte, intelligente et cultivée, elle a beaucoup appris dans les livres et a toujours aimé découvrir de nouvelles choses, combler de nouvelles lacunes.
Il faut dire que sa curiosité intellectuelle est insatiable et fait d’elle quelqu’un de vif d’esprit.
La demoiselle est toujours à l’écoute et reste toujours très attentive aux choses et aux gens qui l’entourent, ce qui est indispensable dans son travail.

Toujours à l’affût, les sens aux aguets, elle est plutôt méfiante et se plaît à observer les autres avant d’aller fers eux, cherchant à les cerner avant tout chose histoire de s’adapter à leur personnalité.
Et elle s’en sort remarquablement bien, sachant parfaitement s’adapter.
Elle a d’ailleurs pour habitude de toujours retomber sur ses pieds et de se sortir des situations les plus délicates.
En ce sens, son talent de comédienne est clairement avantageux.

Elle favorise la discrétion pour ce qui est de leur petits trafics, d’autant que peu d’Asukaï voit sa relation avec Akira d’un bon œil.
Elle préfère donc ne pas se mêler trop ouvertement de leurs magouilles, ce qui ne l’empêche pas d’être au courant de nombres de leur projets et parfois même de donner son avis à Akira et à son cousin, un avis peu scrupuleux qui n’est pas le sien mais colle au rôle qu’elle se donne.

Energique et dynamique, elle déteste l’inactivité et en un sens aime le danger, quoi que l’infiltration en soit devenue un un peu trop conséquent à ses yeux.
La jeune fille à un sens de la répartie plutôt développé et est difficilement mise à mal, habile dans ses mots autant que dans ses gestes. Elle est aussi taquine et ne s’abaisse devant personne hormis peut-être devant Akira qu’elle méprise mais qu’elle redoute terriblement, d’autant qu’elle a goûté souvent à la violence tapis en lui.
Pourtant avec les autres, elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense et se fiche pas mal de leurs opinions.

En vérité, elle paraît assez intouchable car il n’y a pas grand-chose capable de la troubler, du moins en apparence car au-dedans c’est tout autre chose.
Elle donne l’impression d’être à l’aise sur tous les terrains et que rien ne peut la choquer.
Vous l’aurez compris, à la fois sensible mais courageuse, fragile mais forte, elle est quelqu’un d’étrangement contradictoire.

Faussement assurée, la jeune femme fait preuve d’une maturité impressionnante pour son jeune âge ainsi que d’une sagesse et d’une perspicacité qui le sont tout autant.

Dans cet univers masculin où les femmes sont plutôt considérées comme de jolis objets, elle estime pour sa part qu’une femme peut parfaitement rivaliser avec un homme et est tout à fait prête à le prouver.
Il faut dire qu’elle a aussi son petit caractère, qui n’a rien à voir avec sa mission.
Un caractère dont l’opiniâtreté et la volonté en sont deux des piliers.

Elle déteste les Asukaï qui symbolisent la cruauté gratuite et tout ce que l’humanité peut faire de pire. D’ailleurs à force de les côtoyer elle aurait presque tendance à oublier que tous les hommes ne sont pas ainsi. D’autant que son père n’était guère plus glorieux dans ces actes que ces mafieux là.
Heureusement, la présence d’Atsuko lui permet de décompresser un peu. Elle est l’une des rares consolations de cet univers répugnant.


Dernière édition par Ekaterina Dementieva le Ven 9 Jan - 18:32, édité 2 fois
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Ekaterina Dementieva

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MessageSujet: Re: Ekaterina Dementieva [validée]   Ekaterina Dementieva [validée] Icon_minitimeVen 9 Jan - 18:07

Histoire : Ekaterina est née en Russie il y a dix neuf ans de ça, un beau matin de quatorze janvier.
Sa mère, Yumeka Kieru, était japonaise et avait rencontré son père lors d’une fête quelconque au Japon. Aussitôt, ils étaient tombés éperdument amoureux. Son père, Dimitry Dementieva était russe, pour sa part, ce qui rendait cette liaison compliquée.
Son rôle d’homme d’affaire lui permit cependant d’exécuter de nombreux ses allés et retours au Japon.

Ils se voyaient donc régulièrement, entre deux voyage, ce qui n’était simple ni pour l’un ni pour l’autre.
Au début, ils vécurent ainsi chacun dans son propre pays toutefois lorsque Yumeka tomba enceinte, il fut décidé qu’ils ne pouvaient continuer ainsi. La futur maman toujours aussi attachée à son amant plia donc bagage et sacrifia tout ce qu’elle avait pour venir vivre avec lui.

La famille de Dimitry n’accueillit pas bien la nouvelle, ce dernier étant censé épouser une dénommée Anuska, une fille de bonne famille.
Malheureusement, l’enfant qu’attendait l’étrangère contrait tous leurs plans et leur fils chéri épousa donc comme il se devait la femme qu’il avait mise en cloque.

Ce fut donc ce qui précéda la naissance de Katya. Yumeka s’habituait tant bien que mal, plutôt mal que bien d’ailleurs à cette existence insolite tandis que Dimitry continuait comme si de rien était, réalisant son erreur. Malgré ses sentiments, il avait cru qu’il ne s’agissait là que d’une passade et il se retrouvait futur père et mari en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire.
En outre, il supportait difficilement tous les commentaires désobligeant donc lui et sa femme étaient victimes.
Lui qui avait toujours été respecté ne savait plus trop où il en était.
De plus les Dementieva refusaient pour l’heure de lui adresser la parole et plus encore d’entendre parler de « l’étrangère » et du bébé à naître.
Sa réputation en prenait un sacré coup.

Finalement, le nourrisson se présenta. C’était une petite fille.
Nouveau déshonneur pour Dimitry…
Il la prénomma Ekaterina, comme sa grand-mère malgré l’envie de Yumeka de lui donner le prénom d’Emiko.
Il faut dire que la japonaise n’avait plus vraiment son mot à dire et regretter de plus en plus amèrement son ancienne vie.

La fillette grandit normalement sans vraiment voir son père, les congés paternité étant considérés comme honteux là-bas.
Quand à Yumeka, elle aimait profondément ce petit-être, se consolant de son mieux avec cette toute jeune vie qui commençait.
La vie n’était pas simple pour elle.
Elle devait s’occuper de tout à la maison, vivre sur le rythme russe et se charger à elle seul du bébé.

Elle était seule et loin de sa famille aussi la pauvre avait bien du mal à ne pas sombrer dans la dépression.
Seule, Katya, comme elle la surnommait lui permettait encore de tenir.
Son mari avait tellement changé depuis qu’il l’avait conduite dans son pays, on aurait dit un autre homme.
Machiste et prétentieux, il se désintéressait totalement de son avis.
Elle ne pouvait que se taire et prier pour retrouver l’homme qu’elle aimait. De toute manière, qu’aurait-elle pu bien faire, elle savait à peine aligner deux mots de russe et était complètement dépendante de lui.

Le problème c’est que l’enfant percevait bien le désarroi de sa mère aussi passait-elle le plus claire de son temps à pleurer et à s’époumoner sans raison apparente.
Au début, ses parents s’inquiétèrent et consultèrent le pédiatre qui conclut que c’était la tension environnante qui causait les pleurs puisque dès lors qu’on éloignait la fillette d’eux celle-ci arrêtait de sangloter.

Malheureusement, la réalité fit plus de bien que de mal encore. Le couple se déchira, à bout de nerfs, remettant la faute sur le dos de l’autre. La mère l’accusait de ses absences et le père d’être capricieuse. Résultat, la petite braillait de plus belle et eux se disputait plus encore, épuisée par les cris nocturnes aussi bien que diurnes de l’enfant.

Bientôt, il ne resta plus aucune trace d’affection entre eux et ce fut la grand-mère de Katya qui fut forcé d’intervenir, non pour son fils et sa belle-fille mais pour sa petite-fille avait-elle dit.
Elle recueillit le bébé, laissant les parents à leurs conflits.
Plus d’un mois, le bébé vécu chez les Dementieva, apprenant peu à peu à se calmer.
Rapidement, elle redevint un petit être calme et souriant.

Ses parents venaient lui rendre visites quasiment tous les jours et tout se passait pour le mieux.
Bientôt, elle repartie avec eux et grâce au ciel, ils étaient parvenu à ne plus se battre à tout bout de champ, attendant d’être à l’abri des yeux et des oreilles pour se faire.
L’enfant atteignit donc l’âge de trois ans, commença à aller à l’école et tout ça dans un climat de sérénité précaire mais suffisante.

Son père se jetait dans son travail, n’appréciant visiblement pas ce qu’il avait fait de sa vie et Yumeka pour sa part s’était résignée à sa vie de femme au foyer, elle qui autrefois était une couturière de talent.
Malheureusement, la crise économique du pays n’allait pas tarder à rallumer le feu aux poudres. Une étincelle suffit…

La boîte dans laquelle travaillait Dimitry se trouva contrainte de fermer ses portes et de mettre au chômage ses employés. Ce fut un coup dur pour lui et paradoxalement cela le rapprocha de son épouse qui était là pour l’encourager et le soutenir. Ils renouèrent des liens chaleureux à défaut d’amoureux et reprenaient des airs de véritables familles.
Jamais Katya n’avait été aussi souriante, aussi enjouée. Elle ne cessait de parler de ses parents à sa grand-mère qui la gardait très régulièrement.

Cependant, les mois passaient et la volonté autant que l’espoir de Dimitry et de son épouse s’émousser. Leur réserve budgétaire s’essouffler et la mère du marié refusait de leur prêtait un centime, considérant que ce n’était pas son rôle et qu’en tant qu’homme son fils devait être capable de faire vivre sa famille.
Ils commencèrent donc à se serrer la ceinture et bien vite les disputes reprirent. Yumeka voyait bien que son époux faisait de moins en moins d’efforts pour les sortir de là et Dimitry ne supportait plus d’entendre parler de recherches d’emplois.
Le problème semblait indémêlable surtout qu’il refusait de but en blanc que sa femme puisse travailler.

De temps en temps, le grand-père d’Ekaterina leur faisait parvenir quelque billet, en secret pour que sa femme ne s’indigne pas mais cela ne suffisait pas d’autant qu’élever une enfant de quatre ans coûtait cher.
Cependant, ce qui devait arriva.
Un soir l’homme décida de sortir se changer les idées avec des amis à lui et il revint complètement éméché.
Après ça, il recommença ce manège tous les soirs…
Il buvait jusqu’à perde connaissance…

Bientôt, il partit s’acheter de la boisson en cachette, puisant dans leur dernière économie sans se soucier de savoir si sa femme et sa fille aurait de quoi manger le lendemain.
L’alcool le rendit plus irritable encore… puis violent.
Ekaterina, elle ne comprenait pas se qui arrivait à son papa et était bouleversée face à la détresse de sa mère.
Son âge la rendant impuissante, elle se mit à faire de terribles cauchemars et ses professeurs prirent même rendez-vous avec sa mère pour le comble de l’humiliation.
Ils essayèrent de lui faire des leçons d’éducations songeant sûrement qu’une japonaise n’était pas apte à élever des enfants.

Un jour, Yumeka rentrait des courses avec Ekaterina et Dimitry était vautré dans le fauteuil comme à l’accoutumé. En les entendant, il s’était redressé subitement, étonnant tout le monde d’en avoir encore la force. Il s’était dirigé vers les sacs et avait tout vidé sur le sol, les yeux fous et brillant d’une lueur dangereuse qui avait fait pleurer la petite.
En récompense, elle reçut une violente baffe qui lui coupa le souffle. Sa mère s’interposa et eu droit au même traitement. Il l’accusa alors de n’avoir rien acheté de convenable.
Il entendait par là, pas acheté d’alcool évidemment…

Yumeka commis l’erreur de ne pas se rebeller directement, de laisser passer ça.
Car bientôt, il recommença à la gifler. Ses crises de colères étaient de plus en plus fortes.
La petite quand elle les entendait ou les sentait venir aller se cacher mais ce n’était pas aussi « simple » pour sa mère.
Celle-ci endurer les coups, hurlant contre lui ou l’implorant de se calmer.

Dans son malheur, Ekaterina avait la chance d’être souvent oublié et ne se prenait que quelque baffe de temps en temps. Des coups qu’elle ne s’expliquait pas d’ailleurs. Un rien était prétexte à l’énervait désormais.
Elle se souvenait une fois, sa mère l’avait appelé « Kaya » et elle s’était pris un coup de poing dans la mâchoire. Son père avait tonnait que son véritable nom était Ekaterina et qu’il ne voulait plus jamais entendre ce surnom ridicule.
Aussi la femme prit-elle toujours soin de ne pas « écorcher » son nom en présence de son mari.

Un jour, il cogna si fort que la femme fut envoyé à l’hôpital. La fillette du haut de ses sept ans du s’interposer craignant qu’il ne la tue.
Elle fut donc placée aux urgences et dénonça son mari qui fut mi en cellule.
Ekaterina passa la nuit serrée contre sa mère dans le grand lit blanc.
Au petit matin, sa grand-mère était arrivée et elle lui avait sauté dans les bras pleurant à chaudes larmes ce qui eut pour effet de réveillé la japonaise encore assoupis.
Et c’est alors qu’en apercevant sa belle-mère, elle devint littéralement hystérique, hurlant comme une démente que tout était de sa faute, que son avarice et ses préceptes à deux sous étaient responsables de tous leurs malheurs.
Elle avait alors ordonnée à la petite de revenir près d’elle en ordonnant à la femme de partir et de ne plus jamais chercher à les voir ni l’un ni l’autre.
C’est ce qu’elle fit…

Quatre mois passèrent. La mère et la fille vivait toutes les deux et la mère avait repris la couture.
Malheureusement, l’homme fut relâché et retourna aussitôt les voir.
Il supplia sa femme de lui pardonner et de lui donner une deuxième chance.
Elle accepta, se sentant encore et toujours dépendante de lui.
Et le même schéma se reproduisit. Il se remit à boire et à frapper.
Et pour l’enfant, l’école était loin d’être un refuge car elle commençait à découvrir les prémisses de la discrimination raciale.
Etrangère dans son propre pays…

La fillette avait neuf ans quand sa mère braqua son mari et le tua froidement sous ses yeux d’une balle dans la tête.
Elle ne pleura pas… du moins pas jusqu’à ce qu’elle réalise que sa mère, elle, pleurait.
Par culpabilité, choc ou peur des représailles ? Elle ne le sut jamais, néanmoins elle se blottit contre elle et toutes deux restèrent ainsi toutes la nuit.

C’était de la légitime défense. L’homme allait pour l’énième fois les frapper, elle avait sorti l’arme qu’elle avait acheté des années plus tôt par crainte d’être cambriolé lorsqu’elle était seule à la maison avec le bébé et avait tiré, comme dans un état second.
C’est ce qui fut raconté à la police lorsqu’elle arriva sur les lieux du crime.
Mais la réalité était tout autre.
L’homme était tranquillement assis devant la télé, Yumeka était arrivé, s’était placé devant lui avait brandit l’arme et insensible à ses balbutiements effrayés avait tiré, débarrassant ce monde de la vermine qu’il était.
D’ailleurs, Ekaterina soupçonnait sa mère d’avoir acheté le fusil juste pour ça…

Oh mais elle ne lui en voulait pas. En un sens c’était un soulagement.
Malheureusement, prémédité ou non, cela restait un meurtre et elle fut mises derrière les barreaux. Elle en prit pour quinze ans de prison.
L’enfant assista à cet épuisant procès et cru que le monde s’écroulait lorsqu’elle comprit qu’on allait la séparer de sa mère.

Elle fut confiée à sa grand-mère qui, contrairement à ce qu’on aurait pu s’attendre au vu de son tempérament aigri, accepta sans rien dire.
La petite fille ne pouvait pourtant pas oublier les accusations de sa mère. D’après elle, c’était elle qui était responsable de tout et dans un coin de sa tête elle lui en voulait sans savoir exactement pourquoi.

Cependant malgré tout, ce fut là où elle fut le plus heureuse. La vie était redevenue tranquille.
Elle allait régulièrement voir sa mère en prison et était très proche de ses grands-parents malgré le mauvais caractère de sa grand-mère. Elle était vieux jeu mais pas profondément méchante.
Elle n’avait pas beaucoup d’ami à cause de son « sang-mêlé » mais les rares personnes qui avaient droit à ce titre n’étaient pas déçu.
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Ekaterina Dementieva

Ekaterina Dementieva


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MessageSujet: Re: Ekaterina Dementieva [validée]   Ekaterina Dementieva [validée] Icon_minitimeVen 9 Jan - 18:09

A treize ans, elle déclara qu’elle serait policière pour arrêter tous les hommes comme son père ou avocate pour libérer les innocents comme sa mère. Quoi qu’il en soit, elle voulait faire la justice qu’elle considérait… injuste justement, le système pénal russe laissant selon elle à désirer.
Elle déclara aussi vouloir visiter le pays de sa mère, espérant sans le dire qu’il lui serait plus accueillant et qu’elle pourrait là-bas ne pas être considéré comme une étrangère.

La vie continua ainsi sans trop de remous hormis ceux communs à toutes les adolescentes.
A seize ans, elle eut son premier petit ami. Il était policier et avait vingt deux ans. Ce qui n’était guère au goût de sa grand-mère qui la força à rompre.
Ce qu’elle fit. Néanmoins, elle garda des liens étroits avec Misha.
C’était une tête brûlée, comme elle, aussi étaient ils compatibles et s’amusaient-ils beaucoup ensemble. D’ailleurs, le garçon n’avait jamais cessé de jouer le jeu de séduction.

A dix-sept ans comme la loi le permettait, elle tenta le concours pour entrer dans la même division que lui et l’obtint haut la main.
Elle passa la première année à faire quelques affaires mineures et plutôt inintéressantes.
Un jour, elle en vint à se plaindre à Misha, trouvant son métier de plus en plus fade et enviant les missions d’infiltrations auquel il avait droit.
Alors à contre cœur, il lui avoua qu’il avait eu vent d’une affaire pouvant l’intéressé et dont il lui semblait qu’elle avait le profil recherché.
Une mission d’infiltration au Japon.
Il cherchait des personnes aux origines japonaises, conscient que ce pays étaient plutôt fermés aux étrangers et que la confiance n’était pas leur fort.

Les patrons hésitèrent longuement lorsqu’elle se présenta. Elle avait le profil, était de toute évidence expert dans l’art de la comédie et le maniement des mots mais son inexpérience jouait en sa défaveur. Misha vanta alors ses mérites et il fut décider qu’elle irait et que son jeune âge pouvait justement être un atout. Peu de gens soupçonneraient une si jeune demoiselle d’être un agent.

Elle dut attendre d’avoir dix-huit ans cependant, la loi n’autorisant pas ce genre de chose avant la maturité légale. Un mois plus tard, elle fut fin prête et sa formation d’agent double était parfaitement assimilée.
Son but : espionner un groupe de trafiquants nommé les Asukaï qui avaient de toutes évidences étaient mêlé aux affaires du gouvernement russe.
Elle ne sut pas grand-chose de plus mais ça lui suffisait d’autant qu’on lui avait promis de libérer sa mère s’ils réussissaient à démanteler les Asukaï grâce à ses informations.
En vérité, elle ne s’attendait pas à quelque chose de cette ampleur, pensant tomber dans un univers de trafiquants mineurs, aussi cela l’excitait-il.
Misha non plus n’avait pas idée de ce qui l’attendait. Sinon, il n’aurait jamais osé l’envoyer là-bas sans escorte et si démunie.

Quoi qu’il en soit, la demoiselle débarqua au japon. Grâce au ciel, sa mère et elle avait toujours dialogué dans sa langue natale aussi ne fut-elle pas trop perdue.
Elle se loua un petit appart plutôt miteux et commença sa mission une semaine plus tard lorsqu’elle eut prit suffisamment de repères.
Elle eut malheureusement le temps de découvrir que les japonais n’étaient pas plus clément avec les étrangers, voir même encore moins que les russes.
Mais ce n’était rien, juste une désillusion supplémentaire. Elle était bien décidée à remplir sa mission et à sortir en prime sa mère de là.

Elle commença donc à traîner dans les bars où venaient les Asukaï d’après les renseignements qu’on lui avait fournis. Elle se fit engager comme serveuse… et danseuse à la fois. Disons que toutes les serveuses faisaient un spectacle de leur cru avant de réenfiler le tablier… au figuré bien sûr, leurs uniformes n’étant que très peu couverts.

C’est là qu’elle parvint à se faire repérer au bout d’un mois par Naoko Tomoshie, un Asukaï qui voulut faire d’elle une de ses conquêtes mais qui en fut empêcher par Akira qui visiblement désirait la garder pour lui dès qu’il l’aperçut.
Ce fut une chance incroyable que le fils du chef en personne s’intéresse à elle !
En un sens, ça lui plaisait de se pavaner malgré les convenances avec une étrangère.

Ensuite tout s’enchaîna très vite et avant qu’elle ne puisse comprendre ce qui se passait, elle se retrouvait embarquée dans toutes ces histoires.
Au début, ça pouvait aller, elle se contentait de livrer ses informations à Koeru Takashi, son intermédiaire mais peu à peu elle réalisa qu’ils étaient bien plus que de petits trafiquants et tenait tout Tôkyô au creux de leur mains et cela devint plus difficile encore.
Drogue, voitures, armes, contrefaçons, meurtres… ces types là touchaient à tout et étaient bien plus corrompus qu’elle n’aurait pu l’imaginer.

Peu désireuse de se faire découvrir, elle continua pourtant à jouer la comédie, devenant de plus en plus proche des Asukaï, jusqu’à résider directement chez Akira et Takeo. Un manoir luxueux qui abritait aussi d’autres magouilleurs.

Un an s’écoula ainsi. Akira était parfois violent et volage mais il refusait de la voir s’éloigner.
En un sens, il était réellement amoureux d’elle. A sa façon, bien sûr.
Quand aux autres, elle sut s’adapter à eux sans trop de mal hormis vis-à-vis de Takeo terriblement méfiant à son égard.
Elle put rencontrer Atsuko aussi, sa meilleure amie avec qui elle devient vite très proche.

Voilà donc où en est notre jolie espionne faisant son travail malgré le désintérêt croissant que lui porte le gouvernement...


Rêve(s) / Ambitions : Se sortir vivante de la galère dans laquelle elle est et accessoirement de réussir sa mission en démantelant les trafics des Mazarachi.


Connaissance du forum : Je l’ai crée avec mon cher et tendre.
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Ekaterina Dementieva

Ekaterina Dementieva


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MessageSujet: Re: Ekaterina Dementieva [validée]   Ekaterina Dementieva [validée] Icon_minitimeVen 9 Jan - 18:10


PnJ :


~ Satoshi Mazarachi ~
Ekaterina Dementieva [validée] Satoshimazarachiprefj9
Satoshi est en réalité le chef des Asukaï. Respecté et imposant, il en impressionne plus d’un et à juste titre. Craint par beaucoup, sa réputation le précède. Sans scrupules, froid et calculateur, il semble totalement dénué d’émotion humaine et de sensibilité hormis avec sa propre famille.
Méfiant et direct, il n’hésite pas à dire le fond de sa pensée. Il a également la détente facile aussi mieux vaut ne pas trop le contrarier, d’autant que la patience ne fait pas partie de ses vertus. Intelligent, son expérience de trafiquant n’ait plus à prouver. Dans l’ombre, il s’occupe de tout et veille à ce que son fils aîné ne cause pas trop de dégâts à ce qu’il considère comme son « chef-d’œuvre », se chargeant lui-même de réparer ses erreurs et d’éliminer ses ennemis.
Sous ses allures paternelle voir débonnaire, se cache une véritable ordure qui n’a peur de rien ni de personne. Il est difficile, même pour ses fidèles de comprendre et de deviner se qui se cache sous ses sourires ou sous impassibilité.
Katya ne l’a vu qu’à deux reprises mais cela lui a amplement suffis. Il faut dire qu’il est ce genre de personne qui vous colle une sueur froide juste en vous regardant.


~ Akira Mazarachi ~
Ekaterina Dementieva [validée] Akiramazarachichefkv5
Akira Mazarachi est le fils aîné de Satoshi. Plus ou moins à la tête des Asukaï depuis que son père à décider de faire de lui son digne héritier, c’est à lui de tout gérer. Du moins en apparence. Même lui ignore que son paternel n’est jamais bien loin et surveille de près la moindre de ses affaires. Aussi se pavane-t-il la tête haute, fier de ses responsabilités sans savoir que son géniteur lui a plus d’une fois sauver la mise. Son âme de leader et son enfance pourris gâtée l’ont rendu arrogant, prétentieux et colérique. Il ne supporte pas de perdre ou que quelque chose lui échappe, à lui directement ou bien à son contrôle. Jaloux et possessif, il pense que les gens lui appartiennent et doivent impérativement lui obéir. A bien des égards, il se prend pour un Dieu, intouchable, juché sur un trône en or massif. Il est devenu capricieux et ne supporte pas qu’on lui résiste. Sauf que contrairement à quelqu’un de « normal », il a largement les pouvoir d’obtenir gain de cause, n’hésitant pas à menacer de mort tous ceux qui pourraient éventuellement se dresser contre lui. Froid, il semble parfois aussi insensible que son père. Il a aussi pas mal de pulsions violentes et s’avère légèrement sadiques sur les bords. Mauvais, il est aussi terriblement rancunier. Il est intelligent mais malheureusement il tourne sa vivacité d’esprit dans le seul but de nuire le plus possible et son impulsivité n’aide pas.
Il apprécie beaucoup son cousin qu’il voit comme un frère.
Il est, entre autre, le petit ami d’Ekaterina même si ni l’un ni l’autre ne sont sans ignorer son côté volage.


~ Takeo Mazarachi ~
Ekaterina Dementieva [validée] Takeomazarachicousindakyo9
Takeo est le cousin d’Akira et le neveu de Satoshi. Il est d’ailleurs plus proche de ce dernier que ne l’est sont propre fils. A bien des égards, Satoshi aurait préféré avoir un fils comme lui.
Rusé et vifs d’esprit, il est très doué dans les affaires et prend bien soin des comptes familiaux. Il aime tout particulièrement la saveur l’argent et du pouvoir mais cela ne lui ait pas monté à la tête contrairement à son cousin. Il connaît les failles de leurs petites manigances et veille à les combler, tempérant régulièrement les ardeurs de son cousin.
Naturellement méfiant, il n’a confiance en personne et rêve de prendre la direction des Asukaï maudissant son cousin de ne pas se rendre de la chance qu’il a. Ce qu’il considère comme une injustice est l’une des rares choses capable de le mettre en colère. C’est quelqu’un d’impassible et de peu scrupuleux. Si Akira n’avait pas été son cousin, il n’aurait éliminé de la partie depuis bien longtemps.
Des années auparavant, il a décrété qu’Atsuko serait sa petite amie et il n’est pas homme à qui on ose refuser quoi que ce soit. Il est peut-être même plus redouter qu’Akira, c’est vous dire.
Par contre, il se méfie depuis le début de la copine de son cousin.


~ Atsuko Shingami ~
Ekaterina Dementieva [validée] Atsukoshingamifiancedetgx9
Atsuko est une jeune fille de vingt et un ans qui a de l’esprit et le cœur sur la main. Elle et Katya sont très liées. Confidentes, elles sont les seules qui osent se parler franchement et passent le plus clair de leur temps ensemble lorsque leur obligations les laissent en paix. Atsuko se doute de quelque chose au sujet du jeu dangereux auquel joue Katya mais ne lui a jamais fait part de ses soupçons, considérant que c’est à elle de le lui dire si l’envie lui en prend. De plus, elle n’a aucune preuve. Elle s’inquiète facilement et est d’une générosité incroyablement éblouissante dans ce milieu de gros bras magouilleurs.
La demoiselle vivait autrefois dans la rue, se prostituant parfois pour gagner de quoi manger et c’est Takeo qui l’a sorti de là. Pas par charité, simplement parce qu’elle lui plaisait. Aussi se sent-elle redevable d’autant que le jeune homme ne rate jamais une occasion de lui rappeler d’où elle vient. Craintive, toutes ses histoires la mettent mal à l’aise aussi préfère-t-elle fermer les yeux et faire semblant de ne rien voir et de ne rien entendre.


~ Mokujin Doadaka ~
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Mokujin est un garçon légèrement dérangé sur les bords. Petits trafiquant de drogue et d’arme avec son frère, il a gravit les échelons jusqu'à enter chez les Asukaï. Ce qui est pour lui une immense fierté. Toutefois, il ne se préoccupe pas vraiment des à côtés, se contentant de faire son petit buisness. Il adore les voitures et est fan de sports extrêmes. Il ne vit que pour l’adrénaline. Aussi lui arrive-t-il d’appeler lui-même les flics en secret juste pour le plaisir de devoir s’enfuir et de se lancer dans une course poursuite. Inconscient, il joue impunément avec sa propre vie. Colérique et très extrême dans ses sentiments, il ne supporte pas la défaite et s’énerve pour un rien. Il lui arrive d’être violent, tapant volontiers dans les murs et dans les gens. Il aime se battre. En réalité, la quantité phénoménale de drogue qu’il absorbe contribue largement à son agressivité. Insolent, il déteste les règles et prend un malin plaisir à les braver toutes. Il déteste les flics et en a tabassé plus d’un. Il est aussi atrocement raciste et ses manières laissent clairement à désirer. Il est sans doute l’un des plus cinglé de la bande. Par contre il reste très dépendant de son jumeau et craint suffisamment Akira et Takeo pour se tenir à carreau devant eux. Toutefois, il n’est pas profondément méchant et même plutôt manipulable quand on le connaît bien. Il faut dire qu’il n’est pas mentalement une flèche. Sans être idiot, il n’est pas non plus particulièrement malin.

~ Kenji Doadaka ~
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Kenji est le jumeau de Mokujin mais si ils se ressemblent physiquement on ne peut pas en dire autant en ce qui concerne le mental.
Kenji est réfléchi, posé et calme. Calculateur et vicieux, il est très doué dans l’utilisation des mots et est un orateur hors pairs. Très habile, il connaît bien les faiblesses des uns et des autres. Très observateurs, il écoute plus qu’il ne parle. Très stratégique, il aime voir comment les choses évoluent. Il est bien plus sage que son frère mais pas moins raciste. Il n’aime pas Ekaterina mais se garde de le lui dire. Hypocrite, il est malheureusement vaguement surdoué.
Arrogant et prétentieux, il est par contre terriblement prisé par les femmes qu’ils traitent toujours bien. Il se sait séduisant et en profite très largement. Il joue le petit chien fidèle vis-à-vis des Mazarachi, peu désireux de ce les mettre à dos et de quitter sa petite vie luxueuse qu’il a construit pour lui et son frère. Il aime beaucoup ce dernier mais il est très souvent exaspéré par sa faute. Il avait autrefois promis à sa mère mourante de prendre soin de lui et c’est donc ce qu’il fait.

~ Reizo Okinata ~
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Reizo est toujours collé à Akira.
Il est en quelque sorte son garde du corps et son chien fidèle.
Il ne parle pas beaucoup sauf pour donner les conseils que réclament parfois Akira. Il lui est très dévoué et certain pense même qu’il à un faible pour le boss. Il voit d’ailleurs d’un mauvais œil sa relation avec l’étrangère. Avec le temps, il fait plus partie du décor qu’autre chose. Cependant, il est toujours aux aguets et prêt à dégainer à la moindre menace. Son domaine de prédilection est d’ailleurs l’armement. Personne ne sait comment il est arrivé là hormis Akira.

~ Naoko Tomoshie ~
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Naoko est le fils d’un des Asukaï très respecté, même par le chef. Toutefois, il n’a pas vraiment hérité de la mentalité de son père et se moque un peu de toutes ces histoires, se contentant de faire ce qu’on lui demande sans trop de scrupules. Il n’est pourtant pas méchant, aimant s’amuser. Particulièrement taquin, il rit facilement. Lui aussi est très prisée par la gente féminine. Toutefois, lui n’a d’yeux que pour Atsuko. Il se garde bien de l’avouer d’ailleurs. Il aime beaucoup Katya. Bavard, il ‘a pas du tout le profil type des Asukaï néanmoins il ne les trahirait pour rien au monde, par respect pour son défunt père.


~ Mayumi Okareta ~
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Mayumi est une Asukaï à part entière. Calculatrice et profondément méchante, elle n’a aucune pitié et aime se servir des gens. Elle a d’ailleurs une réputation de salope qui lui colle à la peau et dont elle n’a que faire. La demoiselle ne supporte pas Ekaterina qui selon elle lui fait de l’ombre, ayant un faible pour Akira cependant elle est convaincue de pouvoir l’évincer rapidement lorsqu’elle jugera que le moment est venu pour elle de capturer le leader dans ses filets. Elle n’aime pas non plus Atsuko, ni aucune autre fille, étant jalouse comme un pou. Froide et hautaine, elle rabaisse sans cesse les autres et aime se pavaner, se considérant meilleure en tous les domaines. Elle adore les bolides sous toutes leurs formes.

~ Toshiharu Okahide ~
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Toshiharu est en quelque sorte le conseiller de Satoshi. Il est chargé de surveillé les agissements d’Akira et de prévenir Satoshi. Il est muet. On raconte qu’il s’est fait couper la langue. Aussi met-il facilement mal à l’aise regardant les autres de son regard perçant sans jamais rien dire. Expert en explosif et paradoxalement en cuisine, il est malgré tout un membre indispensable des Asukaï. Il a aussi la mauvaise manie d’espionner ses compères.


~ Koeru Takashi ~
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Koeru est un policier. Il est l’unique lien entre le Japon et la Russie. Cependant, ces derniers temps, ses visites se font rares et espacé. Il a un faible pour Katya mais si cette dernière en a conscience elle fait semblant de rien. Il est calme, doux et gentil quoi qu’un peu peureux.


Dernière édition par Ekaterina Dementieva le Lun 28 Sep - 20:49, édité 1 fois
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Adam Monroe
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Adam Monroe


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MessageSujet: Re: Ekaterina Dementieva [validée]   Ekaterina Dementieva [validée] Icon_minitimeVen 9 Jan - 19:12

cyclops ! Woot Woot Woot ! cyclops
cheers ! Quelle fiche ! Bravissimo my love ! cheers
Wink ! Super le cuisto à la langue arrachée, good idea ! Wink
Et pour tout te dire, Kaori s'en veut déjà de ne pas l'avoir connue quand elle était serveuse-danseuse la Katya... Rolling Eyes Razz
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